Enfin une parole de vérité, même si elle fait mal. Mais on peut douter qu'elle donne un moratoire aux investissements fous du maire de Metz. Alors que la gestion et le coût du Mettis commence à poser des questions sérieuses, qu'en sera-t-il demain ? Le futur palais des congrès sera-t-il aussi épinglé par la cour des comptes ? Les Messins sont las de payer et de payer encore pour les frasques d'un maire qui ne laissera que de sombres souvenirs. La dette s'étend insidieusement de Metz à Metz Métropole, à l'exemple du tarif des piscines et demain certainement à tout le département de la Moselle. Tous les Mosellans subiront-ils ce qu'endurent les Messins avec ce maire candidat aux départementales ? Attention, la folie d'un homme risque d'anéantir tout le dynamisme d'un département.
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