Un journal belge dénonce une "partouze" dans un commissariat en pleine alerte terroriste
Selon La Dernière Heure, une "partouze" s'est déroulée le mois dernier dans un commissariat de Ganshoren, commune de l'agglomération bruxelloise, alors que la capitale belge était au niveau 4 d’alerte terroriste. 8 militaires et 2 policières seraient impliqués. Une affaire qui choque la Belgique.
Un journal belge a révélé ce mercredi qu’un commissariat de police de Bruxelles a été le théâtre d’une partie fine entre plusieurs policiers et militaires alors que la capitale était en alerte maximale, après les attentats de Paris. Rapportés par La Dernière Heure (DH), i ls se seraient produits au commissariat de Ganshoren, commune du nord-ouest de l'agglomération bruxelloise. Ils impliqueraient deux policières et huit militaires.
Les collègues féminines étaient toutes chaudes et toutes folles
Un étage du bâtiment de ce poste de police avait été aménagé en dortoir afin qu’une partie des militaires ardennais puissent y rester la nuit. Ils ont ensuite été transférés au commissariat de Jette, une commune voisine. "Pour éviter les longs déplacements vers leur caserne, ces militaires restaient ainsi dormir au commissariat de Ganshoren, une fois leur service terminé, à savoir dès 22 h, chaque soir", explique le quotidien. "À l’arrivée des militaires dans ce commissariat, plusieurs policiers de la division de Ganshoren ont affirmé que leurs collègues féminines étaient déjà "toutes chaudes et toutes folles" à l’idée de recevoir ces hommes en uniforme."
Selon le journal qui révèle l’information qui fait l’effet d’une bombe sur les réseaux sociaux et alors qu’un attentat aurait été déjoué à Bruxelles avant la Saint-Sylvestre, la police ne confirme pas cette information. Un officier de police judiciaire aurait toutefois interrompu cette «partouze».
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