A Nancy, la vitrine "olé olé" du magasin de luxe fait parler d’elle

Nancy - 08/12/2015 11h56 - mis à jour le 08/12/2015 12h14
LORACTU.fr La Rédaction
A Nancy, la vitrine "olé olé" du magasin de luxe fait parler d’elle
Economie
La vitrine osée d'une boutique de luxe de Nancy (Meurthe-et-Moselle). PHOTO: @CANNETEX/ TWITTER

Une vitrine d’un magasin de luxe à Nancy (Meurthe-et-Moselle) fait parler d’elle à l’approche de Noël. Deux mannequins faisant l’amour, de la fourrure et une bouteille de champagne pour passer des «fêtes autrement», assure l’enseigne d’habillement haut de gamme.

La boutique Tolub de Nancy promet à ses clients de leur faire passer un «Noël autrement». Dans la vitrine de la Rue Gambetta à deux pas de la Place Stanislas au centre-ville de la cité ducale, deux mannequins – représentant un homme et une femme – font sauvagement l’amour. Sur cette mise en scène torride, on y voit un homme debout de dos qui tient sous chaque bras deux jambes aux bas noirs chaussées de talons a remarqué L’Est Républicain avant que cette vitrine pas comme les autres ne fasse le «buzz» sur les réseaux sociaux. 

«On a de très bons retours, les gens poussent la porte pour nous féliciter», indique François, chargé de la décoration de ce magasin depuis trente-cinq ans. «On a voulu changer de la routine et se faire plaisir en proposant une vitrine décalée. Le but n’est pas de choquer, mais de rire. On en a besoin. Et vu le nombre de sourires qu’on décoche, l’objectif est atteint !» affirme-t-il dans le quotidien régional.

Dans la rue, les avis sont partagés. «C’est marrant, ça change des mannequins posés comme ça devant la vitrine (…) Non ça ne me choque pas, ça me fait sourire» affirme un jeune homme de 25 ans. Son amie présente à ses côtés est du même avis. «Cette vitrine est sympa, pour un magasin de luxe ça casse les codes» assure-t-elle. D’autres ne sont pas du même avis. «C’est beaucoup trop trash… nous sommes dans la rue et des enfants passent devant» juge un passant qui tranche «ça devrait être interdit !». 

 

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2Commentaires

Urgo
Victor U. - il y a 3 mois
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Eh oui....jusqu'où peut-on aller dans l'audace publicitaire, sans porter atteinte à la morale publique ? Les enfants...ben oui, mais les plus traumatisés ce ne seront pas eux. Soit, ils sont trop jeunes pour comprendre, soit ils s'en foutent et ont d'autres chats à fouetter. Ceux sont certains adultes, qui expriment leurs propres troubles, en se réfugiant derrière la prétendue fragilité psychologique des enfants. Répondre
mess1
Lambert G. - il y a 3 mois
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je crois plutot que ce genre de boutique est aux abois aujourdhui pour faire rentrer le client et à le faire depenser des sommes faramineuses ... ben oui messieurs le monde change, pas la vulgarité ! Répondre
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