Incidents au stade de Metz: un homme interpellé pour les jets de pétards sur le gardien de l’OL
Affaire des pétards: l'examen de l’appel de la sanction du FC Metz reporté à mars
Metz -
20/02/2017 18h12
Sports
La gardien de l'OL à terre au stade Saint-Symphorien à Metz (Moselle), samedi 3 décembre après des jets de pétards durant le match Metz-Lyon.
L’étude de l’appel du FC Metz de sa sanction par la Ligue de football professionnel après les jets de pétards survenus en décembre derniers lors d’un match au FC Metz. Les dirigeants du club messin… sont en vacances.
Selon L'Equipe, l'étude de l'appel du FC Metz, qui s'était vu être sanctionné d'une perte de trois point (dont un avec sursis) suite à son match face à Lyon, le 4 décembre, qui avait été arrêté après des jets de projectiles contre le gardien Antony Lopes, devrait être repoussée au 2 mars.
En cause l'indisponibilité des dirigeants messins, qui n'ont pu se rendre devant la commission supérieure d'appel de la Fédération, pour cause... de vacances. Le long feuilleton de ce match se terminera donc bien après le match retour, prévu ce week-end au Parc OL.
Bernard Serin, le président du FC Metz, avait annoncé sa décision de faire appel de la décision de la Ligue de football professionnel de retirer deux points au club lorrain pour sanctionner les jets de pétards durant la rencontre Metz-Lyon le 3 décembre. Cette rencontre comptant pour la 16e journée avait du être arrêtée en raison des jets visant le gardien lyonnais Anthony Lopes, qui avait souffert d'une "surdité traumatique" avant de rejouer quatre jours plus tard.
Le match sera rejoué à huis clos à une date non encore fixée. "Le FC Metz a décidé d'interjeter appel de la décision de la commission de discipline", avait annoncé le club lorrain dans un communiqué. "Le FC Metz constate que les attendus de la décision prise par la Commission de Discipline (...) ne permettent pas d'identifier la ou les faute(s) qu'il aurait commise(s), au-delà de celle de ne pas avoir pu matériellement faire intervenir les stadiers dans le délai de trente-sept secondes qui s'est écoulé entre le premier et le troisième (et dernier) jet de pétard ayant atterri à proximité du gardien lyonnais", explique le club.
"Il est indéniable que cette décision, si elle n'était pas réformée, constituerait une jurisprudence très dangereuse pour nos clubs", affirmait le club.
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