| 09/08/2013 |
La ministre de l’Enseignement supérieur contredit Manuel Valls et affirme que lee voile ne pose pas de problèmes dans les Universités. Elle s’oppose donc à son interdiction alors qu’un rapport s’en alarme.
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«Ne nous précipitons pas, ne faisons pas une polémique d'un sujet qui n'en est pas un. L'université, ce n'est pas comme le collège ou le lycée, il s'agit de jeunes majeurs. Aucune université n'a saisi le ministère à ce sujet : c'est donc que ça ne pose pas de problème. Qu'on n'invente pas des problèmes là où il n'y en a pas» a déclaré ce vendredi la ministre de l’Enseignement Supérieur sur France Inter.
Les Français quant à eux sont clairs. Ils sont contre le port du voile dans les amphithéâtres. Ainsi selon ce sondage, 78% des Français sont contre. 70 % des sympathisants de gauche se disent aujourd'hui opposés au port du voile dans les salles de cours universitaires, quand ils sont respectivement 91 % et 95 % du côté des sympathisants UMP et FN.
La ministre de l’Enseignement supérieur ne semble pas d’accord avec son collègue de l’Intérieur. Manuel Valls, estime que l'ensemble des propositions du Haut conseil à l'intégration (HCI), qui préconise notamment l'interdiction du voile islamique à l'université, sont "dignes d'intérêt". Manuel Valls a fait cette déclaration dans Le Figaro ce vendredi alors qu’une grande partie des élus de gauche ne veulent pas interdire le voile islamique dans les universités. S’il doit y avoir une interdiction, Valls assure «qu’il faut le faire avec méthode et en recherchant le consensus si possible.»
L’Université doit être «le lieu de rencontre de l'ensemble des cultures» selon la ministre qui affirme que le fait que des femmes musulmanes voilées fassent des études est une excellente chose car »les études sont un facteur d’émancipation». Pour rappel, depuis 2004 le port du voile dans les établissements scolaires est interdit (écoles, collèges et lycées) mais pas dans les Universités.
Normal.
Les universités ne sont plus destinées à former l’élite de de demain mais ne sert plus qu'à servir les réseaux d'immigration (faux étudiants, faux boursiers, logement squattés par des familles au lieu de vrais étudiants, ...).
La France est devenue la décharge du monde avec le bienveillance de nos "élites" qui en demandent toujours plus étant donné qu'il s'agit de leur électorat.