Législatives: "La République en Marche" présentera 577 candidats connus jeudi
Le mouvement du nouveau président élu a annoncé lundi qu'il changeait de nom en vue des élections législatives où il présentera 577 candidats connus jeudi. "La République en Marche", son nouveau nom, veut faire place à la parité et à la société civile qui représentera la moitié des candidats.
Richard Ferrand, secrétaire général d'En marche!, a d'abord remercié les 285.000 adhérents du mouvement. Ensuite, il a tenu une conférence de presse dans laquelle il a annoncé que le nouveau président de la République a démissionné à midi de la présidence d'En marche! "lors d'une réunion extraordinaire de notre conseil d'administration". La présidence par intérim est assurée par Catherine Barbaroux.
M. Ferrand, député PS, a ensuite affirmé que, pour les élections législatives qui se profilent, le nom du mouvement allait changer pour s'appeler "La République en marche". Un changement de nom dans l'objectif "de consolider l'assise" du mouvement.
"La République en marche investira une ou un candidat dans chacune des 577 circonscriptions de notre pays et des Français de l'étranger. Ces candidats seront connus d'ici le 11 mai à midi. Ils respecteront en tout point les objectifs édictés par Emmanuel Macron : le respect du pluralisme de sensibilité à l'intérieur de notre mouvement, au moins 50% de nos candidats seront issus de la société civile, au moins 50% de femmes, aucun candidat ne sera investi s'il a un casier judiciaire qui n'est pas vierge ou s'il a subi une peine inéligibilité", a-t-il poursuivi.
Richard Ferrand a ensuite affirmé que, pour les élections législatives qui se profilent, le nom du mouvement allait changer pour s'appeler "La République en marche". Un changement de nom dans l'objectif "de consolider l'assise" du mouvement.
- En Marche! devient La République en Marche pour les législatives -
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"La République en marche investira une ou un candidat dans chacune des 577 circonscriptions de notre pays et des Français de l'étranger. Ces candidats seront connus d'ici le 11 mai à midi. Ils respecteront en tout point les objectifs édictés par Emmanuel Macron : le respect du pluralisme de sensibilité à l'intérieur de notre mouvement, au moins 50% de nos candidats seront issus de la société civile, au moins 50% de femmes, aucun candidat ne sera investi s'il a un casier judiciaire qui n'est pas vierge ou s'il a subi une peine inéligibilité", a-t-il poursuivi.
"Nos candidats seront rattachés à l'étiquette La République en marche et seront rattachés au groupe parlementaire", a poursuivi le secrétaire général du mouvement. L'objectif, selon lui, sera d'avoir une majorité absolue à l'Assemblée nationale. "Notre objectif est que le gouvernement dispose d'un groupe parlementaire homogène, cohérent, et qui dispose d'une discipline collective".
"Il va s'en dire que nous refuseront tout accord d'appareil ainsi que tout mécanisme de double investiture. En marche! se donne donc les moyens de parachever la refondation de notre vie politique entamée il y a tout juste treize mois", a-t-il ajouté.
En Lorraine, Emmanuel Macron est arrivé en tête dimanche dans 19 circonscriptions contre 2 pour Marine Le Pen. Au premier tour, M. Macron était arrivé en tête dans 3 circonscriptions contre 15 pour Marine Le Pen. Pour le moment, aucun candidat "La République en Marche" n'est encore connu dans la région même si plusieurs personnalités ont fait connaître leur candidature à la candidature pour décrocher l'étiquette. A Metz, le premier adjoint (PS) Richard Lioger par exemple ou dans la 6ème circonscription de Meurthe-et-Moselle, celle de Pont-à-Mousson, Hélène Rossinot, fille d'André Rossinot qui est le président de la métropole de Nancy et ex-maire de la cité ducale.
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